D'FGCA gouf am Joer 2008 vun der Crédit Agricole S.A an dem dem Friddensnobelpräis Prof. Yunus gegrënnt, dat mat Sëtz zu Lëtzebuerg.

D'Grande-Duchesse ass zënter 1997 "Ambassadeur de Bonne volonté" vun der Unesco mat Schwéierpunkten op der Educatioun vu Fraen a Kanner, sou wéi och d'Promotioun vu Mikrokreditter.

Ënnert anerem huet d'Grande-Duchesse eng sëllechen humanitär Reesen zesumme mam Professer Yunus hannert sech an hien och an der "Salle Wagram" zu Paräis gewierdegt:

Evoquant celui qui était devenu « ma source d’inspiration et qui a marqué toute mon action » dans le domaine de la microfinance, Son Altesse Royale a souligné que « le professeur m’a appris beaucoup de choses et notamment que tous les pauvres sont travailleurs, tous intelligents, tous créatifs et qu’ils veulent tous s’en sortir et réussir... si on leur donne une chance ! »
« Et cette chance », a-t-elle poursuivi, « elle s’appelle un crédit ! Que nous nous mettions bien en tête que la pauvreté est un problème de crédit ! »

Citant une nouvelle fois son ami et mentor, la Grande-Duchesse a rappelé que la microfinance « n’est pas de la charité » mais « un business qui respecte celui en qui l’on investit, qui le remet debout ». D’après elle, il faut prendre conscience qu’en aidant les plus pauvres à acquérir une indépendance économique, « nous parlons d’un pacte social, nous travaillons à stabiliser des sociétés entières, des pays entiers…. Nous créons une stabilité garante de paix sur des continents entiers. »

Comme à son habitude, Son Altesse Royale n’a pas manqué d’insister sur le rôle prépondérant qui revient aux femmes : dans le processus de reconstruction sociale, en général, et dans le domaine de la microfinance, en particulier : « Plus de 96 pourcent des femmes remboursent leur crédit. Elles investissent dans la famille, elles veillent à l’éducation des enfants. Elles sont les transmettrices du développement, d’éducation, de paix. On le sait mais je ne le répèterais jamais assez ! »

D'Grande-Duchesse huet dann och en Opruff un d'Finanzplazen a Banke gemaach, fir sech méi staark an der Lutte géint d'Aarmut anzesetzen.