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Haut ass Lëtzebuerg op der 10. Plaz vum Classement ILGA-Europa deen ëm d'Rechter vun der LGBTIQ+ Communautéit an Europa dréit an huet domadder 3 Plaze verluer. Dat net well et op eemol manner Rechter géinge gi mee vill méi well um legalen Niveau net méi vill geschitt ass a leschter Zäit.
Och wa wuel eng Rutsch Saachen zanter 2018 evoluéiert hunn, Maud Théobald vum Centre LGBTIQ+ Cigale:
"Il y a la reconnaissance, la possibilité en tout cas, pour les personnes de choisir leur genre et une avancée qui n'est pas encore suffisante pour les personnes intersexe, mais qui est quand même une avancée et qui va concerner la loi contre la mutilation génitale. Elle est généraliste cette loi, mais elle protège également en partie les personnes intersexe."
Lëtzebuerg ass, an dat muss ee soen, gutt opgestallt wat d'Rechter uginn. Dës si geschützt, gi respektéiert an d'LGBTIQ+ Communautéit fillt sech éischter gutt hei am Land. An awer bleift nach Sputt no uewen:
"Il est vrai que depuis 2018, il n'y a pas eu d'avancées majeures et significatives au regard de ce qui peut se passer dans les autres pays d'Europe autour de nous, tels que Malte, l'Islande, la Belgique et notamment tout ce qui va être des questions familles arc-en-ciel et des questions de filiation. Aujourd'hui, deux papas ou deux mamans doivent adopter leur enfant pour faire reconnaître leur filiation."
Och wann de Grand-Duché sech a verschiddenen Domainer gutt weiderentwéckelt huet, sou bleiwen awer och haut nach eng Rei Ongläichheete bestoen:
"On observe encore des inégalités d'accès aux droits dans des situations de précarité par exemple où il y a une faible représentation dans certains domaines, que ce soit l'éducation ou la santé mentale et beaucoup de silence autour des réalités trans-, intersexes et non binaires. Ce qu'on retrouve dans nos entretiens et dans les témoignages des personnes qu'on accompagne, ce sont les micro-aggressions, les insultes et encore l'exclusion qui restent bien présents."