Un "essai d'aspect romanesque" sur l'époque du régime totalitaire en Bulgarie.

Aus dem Pressetext vum Verlag "D'Bréck":

Avoir, il y a près de huit décennies, vu le jour à Sofia (Bulgarie), d’un père français et d’une mère bulgare, est probablement la raison à laquelle je dois de partager une égale affection à l’égard de mes deux patries. Avec toutefois une tendresse particulière à l’égard de celle demeurée un demi-siècle sous régime totalitaire.

En vérité, si le spectre du communisme réel avait, sans retour, sombré dans le néant, je ne me serais sans doute pas à ce point appliqué à revenir sur les méfaits de ces années de plomb. Mais la réalité est, hélas, tout autre, or on sait que s’il ne se trouve personne pour sauvegarder leur mémoire, les victimes de la tyrannie auront toujours tort.

Aussi me suis-je résolu à partager cette intrigue façon saga aux relents d’épopée, tissée de joies et de larmes, de prouesses et d’angoisses, où l’on voit l’amour et l’amitié côtoyer les trahisons, et la liesse succéder aux déceptions.

En somme, ce récit, que je soumets à l’attention du lecteur supposé, est de fait un essai d’aspect romanesque dans lequel tout (ou presque tout) est vrai, et en l’invitant à engager la lecture, je lui abandonne le soin d’en apprécier (ou pas) la valeur et la sincérité.

Alfred Foscolo

 

Ce travail de mémoire est remarquable… Outre que d’un bout à l’autre du récit l’intérêt historique – qui dévoile une part méconnue du XXème siècle – ne se dément pas, il est émaillé de surprises rocambolesques et de retournements qui le rendent haletant… D’autant que la plume à la fois précise, parfois indignée et ironique, est celle d’un excellent écrivain, au style souvent picaresque et drolatique.       

Stéphane Courtois, historien, maître d’œuvre du Livre noir du communisme.