
Selon Laurent Mosar, le Grand-Duché investit massivement dans l’IA (cf. l’Essentiel, 11.11.2025). Le soutien à l’essor de l’IA est total a-t-il assuré.
Il n’y a pas de raison pour paniquer face aux dérapages « occasionnels » de l’emploi de celle-ci. Les investissements en logiciels sont colossaux, il s’agit avant tout d’augmenter leurs « performances » ce qui intéresse surtout les grandes entreprises. Or c’est là que réside le danger !
Il faut scruter les motivations économiques se cachant derrière cet enthousiasme technologique. Une adoption « aveugle » de technologies conçues par et pour l’industrie en satisfaisant les performances exigées du patronat se fera au détriment des emplois humains.
Fascinés par l’expectation d’une productivité sans faille, ils sont nombreux à confondre automatisation et progrès.
Ce discernement est primordial, ne soyons ni dupes, ni soumis !