Risk vu weidere Rëss besteet, Residentë si beonrouegt

© Domingos Oliveira
Uganks des Jores war zu Villerupt a Frankräich e grousst Lach an enger Strooss opgaangen, dat en Huelraum ënnert der Strooss un d'Liicht bruecht huet.
Elo ass d’Fro firwat den Huelraum do ass a wéi sécher d’Awunner tatsächlech sinn? De Sécherheetsperimeter späert de ganzen ieweschten Deel vun der Rue François Raspail of. An der Mëtt vun der Strooss ass en ongeféier 3 Meter grousst Lach am Buedem. Den Trottoir an Deeler vun den Afaarte vun zwee Haiser goufe mat an d'Déift gerass. Zanter dem ursprénglechen Abroch hätt d’Lach sech vergréissert, soen d’Awunner. Och goufe Gas- a Waasserleitungen doduerch ënnerbrach. Déi genee Ursaach fir den Huelraum wier bis elo nach net bekannt. Et waart een nach op Äntwerte vun Experten. De Buergermeeschter vu Villerupt Pierrick Spizak hofft, dass d’Situatioun als Naturkatastroph deklaréiert gëtt:
"Nous, ce qu'on souhaiterait, c'est que la demande soit étudiée rapidement, notamment en vue des assurances, parce que pour l'instant ça pose en tout cas des soucis pour les personnes qui sont impactées directement sur la prise en charge ou non des frais annexes, parce que finalement il y a quand même une personne qui ne réside plus dans sa maison, il y a beaucoup de frais qui pour l'instant sont à la charge du propriétaire seul, alors en tout cas si l'état de reconnaissance en état de catastrophe naturelle est prise, peut-être que ça va simplifier les démarches au niveau des assurances."
Am Moment besteet nach ëmmer de Risk, dass weider Rëss entstinn. D’Angscht vun den Awunner wier legitim, esou de Gemengepapp:
"Elle peut se poser naturellement pour les voisins, on peut se poser toutes les questions. Si aujourd'hui il y avait un risque majeur à l'instant, tout le monde aurait été évacué, ce qui n'est pas le cas. Ça c'est la première des choses. La deuxième chose, et je comprends les gens, c'est en termes de biens immobiliers. Est-ce que leur maison va perdre en valeur, est-ce qu’ils vont réussir à vendre? Je prends toujours l'exemple du dernier affaissement qu'on avait pu avoir en 2020. Il y avait trois maisons qui avaient été impactées, une des maisons elle était vendue l'année suivante. Leur peur, elle est tout à fait légitime et je les comprends, je les entends quoi."
D’Audrey D’Amico, eng direkt Nopesch vun de betraffenen Haiser, ass beonrouegt:
"A priori, selon les paroles du maire, pour l'instant, on ne serait pas en danger. Mais oui, ça reste toujours une inquiétude. Là, ça n 'a pas bougé depuis plus d'un mois. Parce qu'au début, il n'y avait que le trottoir et ça s'est agrandi. C'était vraiment au début sur moins d'un mètre. Et maintenant là, ça fait trois, quatre mètres. Donc au fur et à mesure, quand on voyait effectivement les morceaux de trottoir s'effondrer, c'est vrai que c'était un peu inquiétant. Mais oui, tant qu'on ne nous dira pas que c'est sûr que c'est terminé, que ça ne peut pas revenir. Parce que c'est aussi ça, est-ce que ça ne peut pas revenir ailleurs? On est quand même un petit peu inquiet, mais on attend."
Eng geologesch Etude soll an enger éischter Phas d’Ursaach an d’Gréisst vum Huelraum determinéieren. Duerno géif ee kucken, wéi een et reparéiere kann, fir dass de Buedem net nach op anere Plazen abrécht. Trotzdeem hätt ee Gléck gehat, dass et an engem Moment geschitt ass, an deem kee konnt blesséiert ginn.