Um Freideg de Moien elo koum déi offiziell Confirmatioun, datt d'Lëtzebuerger Spideeler 4 zousätzlech IRMen kréien.

De Gesondheetsministère an dee vun der Securité Sociale hunn dat per Communiqué matgedeelt. Déi nei IRMen kommen an d'Spideeler op Ettelbréck, op Esch, an den CHL an d'Stad an op de Kierchbierg.D'Gesondheetsministesch Lydia Mutsch huet déi nei Apparater autoriséiert a berifft sech op e positiven Avis vun der Commission permanente fir de Spidolssecteur. Mam neie Spidolsgesetz muss all Kaf an d'Benotze vun engem medezineschen Equipement iwwer 250'000 Euro vum Gesondheetsministère autoriséiert ginn.Wéini déi nei IRMen ukommen, hänkt vun de jeeweilege Spideeler of, wéini si mat de bauleche Mesuren, dat heescht den Extensioune fir den IRM ënnerzebréngen, fäerdeg sinn. Dat ass awer keng Affär vu Joren, mee éischter vun e puer Méint. Fir déi baulech Adaptatiounen, déi bei engem Coût total vu 5,1 Millioun Euro leien, kënnt de Spidolsfong zu 80 Prozent op. Déi aner 20 Prozent mussen d’Spideeler bezuelen.D’Acquisitioun vun den IRMen gëtt iwwert d’Enveloppe budgétaire bezuelt, dat ass d’Krankekeess. Hei steet ee präzise Montant nach net fest.Aktuell gëtt et scho 7 IRMen am Land, zwee am CHL, zwee um Kierchbierg, zwee zu Esch an een zu Ettelbréck.Et ass eng Technik, déi keng Strale fir de Patient bedeit. D'Zuel vun de Scannere soll dann och erof goen an d'Waardezäiten fir en IRM, déi laang sinn, solle mat den neien Apparater verkierzt ginn.2016 goufen iwwer 49'200 IRMen gemaach, 2% dovunner am Ausland, dat waren der ronn 1'300.

RTL

Lydia Mutsch autorise l’acquisition de 4 équipements IRM supplémentaires aux centres hospitaliers du Grand-Duché (07.06.2018)

Communiqué par: ministère de la Sécurité sociale / ministère de la Santé

La ministre de la Santé, Lydia Mutsch, a donné son feu vert pour l’acquisition d’un équipement d’imagerie médicale par résonance magnétique (IRM) et les mesures de construction y relatives, aux quatre centres hospitaliers du Luxembourg (CHdN, site Ettelbruck ; CHEM, site Esch ; CHL, site Barblé ; HRS, site Kirchberg).

La ministre peut s’appuyer sur l’avis favorable de la Commission permanente pour le secteur hospitalier (CPH) du 29 mai 2018, par rapport à la demande d’acquisition par chaque centre hospitalier d’un IRM.

En effet, suite à l’entrée en vigueur le 1er avril 2018 de la loi du 8 mars 2018 relative aux établissements hospitaliers et à la planification hospitalière, l’acquisition et l’utilisation d’un équipement ou appareil médical, dont le coût dépasse les 250.000 euros, doit être autorisé par la ministre de la Santé.

Actuellement, le parc d’équipements en place compte 7 IRM (2 au CHL, 2 aux HRS, 2 au CHEM et 1 au CHdN).

L’IRM est une technique non-ionisante et constitue de ce fait un progrès technologique au bénéfice du patient.

« Il m’importe que chaque patient, dont la prise en charge médicale nécessite le recours à un examen d’imagerie médicale, puisse en bénéficier dans un délai raisonnable et dans le respect de soins de qualité. », souligne Lydia Mutsch.

Les autorisations pour 4 IRM supplémentaires s’inscrivent dans la démarche commune des ministères de la Santé et de la Sécurité sociale visant à réduire les temps d’attentes pour une IRM et soulignent leur volonté politique d’agir pour le bien-être des patients.

Selon les données récentes de la CNS, 49.251 actes IRM ont été enregistrés au Luxembourg en 2016, dont 1.324 (environ 2%) ont été réalisés à l’étranger.

Les ministres Lydia Mutsch et Romain Schneider rappellent dans ce contexte, que l’acquisition d’un équipement d’imagerie par résonance magnétique (IRM) doit aller de pair avec la mise en œuvre des guidelines du Conseil scientifique du domaine de la santé et des recommandations de prescription en imagerie médicale du “Guide de bon usage des examens d’imagerie médicale”.

L’acquisition des 4 nouveaux équipement d’imagerie médicale par résonance magnétique, vise également à diminuer le nombre d’examens par scanners, lors desquels le patient est exposé à des rayons X, contrairement aux examens par IRM.

Afin d’améliorer la justification des prescriptions d’examens d’imagerie médicale, les ministères de la Santé et de la Sécurité sociale ont lancé depuis 2015 plusieurs actions pour la promotion de la qualité des demandes d’examens d’imagerie médicale (Plan d’action « Mise en place des recommandations de prescriptions en imagerie médicale », audits, campagnes de sensibilisation, etc.), en étroite collaboration avec les hôpitaux, les médecins-radiologues, les patients et les acteurs du terrain.